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Joyeux Noel ! | Rolbus
Albus S. Potter
Messages : 231
Date d'inscription : 16/02/2019
Fraternity ♠ Ambition
Albus S. Potter
Joyeux Noel !ft. @Rose Weasley

Noël. L'gamin Potter il aimait pas Noël. Non pas qu'il n'aimait pas sa famille, en fait, il les aimait tous. Non, l'truc qui le gêne à Noël c'est les souvenirs d'ses parents et d'ses oncles et tantes qui résonnent dans la pièce comme des tambours pendant des heures. "Oh, et tu te souviens quand tu as combattu le basilics, Harry ! C'était dément." ou encore "Tu te souviens quand on a tous pris l'apparence d'Harry, même toi Fleur ?" suivit d'une blague sur l'oreille d'oncle George. Les récits, Albus, il les connaissait par cœur. Quand il était p'tit, il adorait écouter les exploits de ses parents et du reste de sa famille. Tous des héros. Pis, Albus a grandit, et les récits sont vites devenus redondant, où sources de… d'arrogance dirons-nous.

Et s'il y avait que c'soucis à table. Non, y'a toujours oncle Ron qui r'proche à son n'veu d'être ami avec Scorpius Malfoy. Albus l'écoute d'une oreille, jusqu'à c'qu'il sorte la phrase d'trop et où Albus lui répond sur un ton plutôt agacé. Hermione finit toujours par intervenir en r'partant sur un autre sujet. Enfin "autre", c'est relatif, puisque souvent c'est encore sur les exploits d'Harry James Potter. Pis, y'avait aussi les grands qui demandait où en était les plus jeunes dans leurs études, et les fameuses phrases : "t'es bien comme ton père." ou "t'es bien comme ta mère" sauf pour Albus. Il savait jamais trop quoi dire à Albus, parce qu'il est pas comme Harry, ni comme James. Il est lui. Et ça, bah c'est les gêne, du moins c'que pense  Albus. Albus, l'seul truc où il est bon c'en potion, il aime les potions, ah et les animaux fantastiques aussi. Il mise tout la dessus, c'est Hermione qui tente une approche souvent en disant "Tu sais, ton père est monté sur le dos d'un hippogriffe." Albus, il l'savait ça. Mais, il savait aussi qu'ça tante faisant tout pour qu'il pardonne son père, comme sa mère, d'ailleurs sa mère rétorque souvent "Et en sixième année, il était doué en potion." Ah ! L'hypocrisie familiale.

M'enfin l'repas avait pas encore commencé. Pourtant sa mère s'acharnait au fourneau, car cette année c'était chez les Potter qu'on fêtait Noël. Son père, son frère et sa sœur descendait de l'étage tous aussi bien habillé que les autres. Ginny donne consigne à Harry de rester prêt de la nourriture tout en allant se préparer, cependant, elle passe devant son fils et s'arrête net.

"Bus, tu compte te changer n'est-ce pas ?"

Les doigts sur sa console de jeu, l'gamin il r'lève les yeux vers sa mère en haussant les épaules, manque de temps pour se disputer avec son fils cadet, elle monte les escaliers pour se préparer pour ses invités qui n'étaient nuls autres que ses frères, ses belles-soeurs et ses neveux et nièces. Croyez-moi, qu'ça allait faire du monde. Les premiers à arriver son Arthur et Molly Weasley, qui avait hâte de voir leur fille benjamine. En arrivant, Molly pose son regard sur son petit fils encore en sweat-jean et lui fait une remarque qu'Albus n'écoute, il compte définitivement rester en sweat-jean pour Noël. Ensuite, ce sont Ron, Hermione, Rose & Hugo, suivi de George, Angeline, Roxane et Fred et tout l'reste d'la famille. Ils sont une trentaine dans c'te maison, tout bien habillé sauf l'rebelle de la famille. Enfin, dans la famille ils sont deux r'belles, Louis et Albus, mais même Louis avait suivi le code social pour Noël.

La p'tite famille passe à table, et tout se passe comme d'habitude. Quoique, le plat principal arrive et ils n'avaient pas encore parlé des exploits de chacun. La brêche dans la barrière anti-moldu monopolisé la discussion. Ses cousins parlaient entre eux, Albus écoutait en silence jusqu'à…

"Tu es toujours ami avec le fils Malfoy, Albus ?"

L'Potter r'lève son nez de son assiette et tourne le visage instinctivement vers son oncle Ron, ayant jeté un regard à Rose entre temps.

"Oui, Oncle Ron."
"N'as-tu pas peur qu'il te fasse un coup dans le dos ?"
"Ronald !"

Pour le coup, Ginny, Hermione et Molly étaient intervenues en même temps. Mais, L'gamin Potter s'laisse pas démonter et pose ses mains sur la table.

"Je lui confierai ma vie. Est-ce un problème ? Après tout, vous vous êtes tous confier votre vie à chacun d'entre vous non ?"
"Albus !"

L'gamin lève un sourcil fixant son oncle, comme un défi, mais avant que son oncle rétorque quelques choses, Hermione intervient.

"En effet, vous vous souvenez de la fois où on a découvert le professeur Quirrell avait Lord Voldemort derrière son visage?!"

Albus roule des yeux et discrètement, il s'lève de table s'en allant dans sa chambre. Il se jette sur son lit alors que sa fouine vient se glisser dans son cou. Quand sa porte de chambre s'ouvre.

"M'man, j'veux pas descendre."

Il tourne le visage et… ce n'était pas Ginny mais Rose. Il se rassoit sur son lit en fronçant les sourcils.

"Qu'est ce que tu veux ?"

Sam 23 Fév - 17:23
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Invité
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Albus
&
Rose
Joyeux Noël !
« Ron, Hugo, dépêchez-vous sinon on va être en retard ! » et dans le langage d’Hermione Weasley, il était inconcevable d’arriver en retard chez sa belle-sœur le soir de Noël. Replaçant ses cheveux dans le miroir d’entrée, elle aperçoit le reflet de sa fille assise de travers dans l’immense fauteuil du salon, un livre de botanique entre les mains. « Rose, assis-toi correctement, tu vas froisser ta robe. » La dénommée-rousse roule des yeux sans changer pour autant de position, sachant pertinemment que sa mère lui jetterait un sortilège dès leur arrivée chez son oncle Harry et sa tante Ginny pour que tout soit parfait. Attaquant sur un autre angle, Hermione commence à critiquer son ouvrage, le trouvant pas assez pertinent pour une enfant de son âge, lui conseillant plutôt le dernier manuel géopolitimagique d’Herbert Magnustique sur la dernière bataille et la reconstruction d’après-guerre. Un sujet commençant à bassiner la rousse. Les deux femmes se seraient surement disputées si Ronald et Hugo n’étaient pas finalement descendus, prêt à partir et lançant le départ.

La maison des Potter, autant que la tablée était magnifique, l’ambiance festive du soir de Noël. Assise à côté de Roxanne de l’autre côté de la table, elles discutent joyeusement de quidditch, conversation reprise par bon nombre de jeunes Weasley-Potter tant le sujet animait leur sang, laissant les adultes discourir entre eux sur leur passé glorifié.
« Tu es toujours ami avec le fils Malfoy, Albus ? » La fourchette de Rose se stoppe à mi-chemin alors que son regard croise momentanément celui d’Albus, figée. La conversation s’en suit, jetant un froid dans le repas jusqu’à ce que les trois matriarches ne s’interposent. Droite sur sa chaise, le malaise prend la rousse à la gorge qui prend soin de reposer doucement sa fourchette sur la table, l’appétit s’en allant. Elle aimait son père mais celui-ci ne savait jamais quand s’arrêter. L’an dernier, elle aurait surement été de son côté, clamant qu’il n’aidait pas Albus à réussir ses Buses, tombant dans le piège des rumeurs. Pourtant, quelque chose avait changé en une année. Un doute s’insinuant en elle depuis le printemps et ne faisant que grandir si bien qu’elle s’était tendue lors du cri des matriarches, se retenant de faire de même.

Sa mère fait bifurquer la conversation vers une énième anecdote de leurs aventures puis finalement vers le fait que passer ses aspics est important et qu’elle était ravie que Poudlard leurs ait permis de le faire l’année suivante. Si Rose suffoquait depuis l’altercation entre Albus et son père et les souvenirs du bal de Noël s’incrustant dans son esprit, elle était clairement mal à l’aise depuis. Elle n’est pas la seule, observant sa tante laisser plusieurs coups d’œil à son mari pour finir par reculer sa chaise alors que Rose la prend de court. « Laisse tatie, je vais y aller. » lui glisse-t-elle, une main sur l’épaule et un sourire tendre aux lèvres, espérant qu’avec elle, cela passerait mieux. Souhaitant surtout plus que tout fuir également cette table dont la conversation commençait à l’étouffer.

Elle ne toque pas, sachant très bien qu’il l’enverrait bouler s’il entendait sa voix. Comme à chaque fois. Pourtant, ce soir, elle a de l’espoir. Celui de Noël alors qu’elle se sent réellement mal pour Albus et par rapport aux propos de son père. Pour la première fois. La main sur la poignée, elle la laisse glisser alors qu’Albus chouine en pensant qu’il s’agissait de sa mère.
Son visage se fait plus ferme et suspicieux, piquant la rouquine qui se pose contre le chambranle de la porte en croisant les bras, sentant le doute s’insinuer en elle. « Voir si ça allait. » répond-elle sur le même ton, se sentant blessée par tant de suspicion. Un quart de seconde passe, comme une éternité, avant qu’elle ne se permette d’entrer – certaine qu’il refuserait si elle le lui demandait- pour aller s’asseoir sur le rebord du lit à ses côtés. « Je suis désolée pour mon père. Tu sais comment il est, comment ils sont… » commença-t-elle en soupirant pour tenter d’excuser Ronald qui n’avait pourtant aucune excuse. « ils sont bloqués dans le passé. Comme un réflexe d’auto-survie. Il doit y avoir un terme en psycholomagie là-dessus » Un terme qu’elle s’empresserait d’aller chercher une fois qu’elle rentrerait chez elle. Avec la bibliothèque que possédait sa mère – en refusant de jeter les livres qu’elle avait amoncelé avec les années, criant lorsque son père proposait de les brûler pour faire du combustible dans la cheminée – elle trouverait bien quelque chose. Elle doutait pourtant que cela ne suffirait au brun, trop ancré dans la crise d’adolescence et la protestation que personne n’ignorait sous ce toit.

Une main de chaque côté de son corps, elle se penche un peu en avant tout en remontant sur le lit afin que ses pieds ne touchent plus le sol, lui permettant alors de pouvoir les faire battre dans le vide. Comme si elle ne touchait plus terre, suspendue au-dessus du vide, rendant son esprit plus léger. Elle ne veut pas paraître jalouse, ne pas faire de crise pourtant c’est ce qu’elle ressent un peu au fond d’elle. Albus confierait sa vie pour Scorpius. Une confiance aveugle qu’elle lui enviait, même si elle faisait de même avec ses copines. Or, toute sa vie, elle s’était accrochée à des souvenirs d’enfant la reliant au brun, la faisant se sentir proche et privilégiée car ils avaient le même âge et se suivaient donc depuis l’enfance. Malgré le mauvais caractère d’Albus, elle aimait toujours autant son cousin. Malgré leurs prises de bec incessantes au château. Alors, avec une pointe de jalousie au cœur, elle lui demande de réitérer, comme pour ancrer cette information dans sa tête. « Tu lui confierais vraiment ta vie ? » Comme pour se dire qu’au final le doute devenait réalité : elle ne pourra jamais être plus proche d’Albus. Que la place est déjà prise.. sauf que cette fois-ci, le grand blond n’apparaissait plus comme un obstacle, un responsable à ses yeux d’adolescente. Un responsable qu’elle avait détesté autant que leurs blagues. Et c’était plus cette sensation innommable qui la dérangeait alors qu’elle les entrainait seule sur un terrain miné. Elle ne voulait pas parler de Scorpius Malfoy, surtout pas avec son cousin. Elle ne voulait même pas penser aux derniers évènements qui s’étaient enchainés depuis les dernières vacances d’automne. Les rumeurs avortées sur la nuit à l’infirmerie, la confrontation puis la dernière danse au bal. Mais elle n’avait pas envie de disparaître complétement sous l’aura charismatique du serpentard en se disant qu’à cause de leur lien de parentalité, elle ne serait qu’une simple cousine comme les autres. Qu’elle était idiote de s’accrocher à des souvenirs d’enfant, que le temps était venu de grandir. Ce qu’aurait dis sa mère…
CODAGE PAR AMIANTE
Dim 24 Fév - 14:07
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Albus S. Potter
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Albus S. Potter
Joyeux Noel !ft. @Rose Weasley

Il avait p't'être son r'gard suspicieux, mais d'un coté, Rose elle a toujours un truc à dire, et pas forcément qui rentre dans la catégorie "faire plaisir à Albus" parfois, c'de la moral, et il avait pas envie d'entendre une morale c'soir. Les sous-entendu d'oncle Ron sur Scorpius l'fatigue et l'agace au plus haut points. Il la suit du r'gard, pis il fronce les sourcils lorsqu'elle s'excuse pour Ron. Comme si elle était coupable des dire de son père. Mais, elle ne peut s'empêcher de d'venir barbante, il souffle en s'allongeant sur son lit.

"Oh Rose steplait, cesse de prouver qu't'es intelligente, c'est barbant."

Il s'doutait bien qu'elle essayait d'mieux qu'elle pouvait de rentrer dans le moule des Weasley, qui doivent intelligent, fort, brave, doué, des joueurs de Quidditch… D'ailleurs, Rose parlait souvent de Quidditch avec les cousines et les cousins, parce que les seuls dans la familles qui ont pas fait de Quidditch c'est… Lucy et lui. Mais, qui disait à Rose qu'elle pouvait faire ça avec Albus ? C'est sur'ment c'qui agace le plus l'jeune Serpentard, qu'ça cousine s'force à d'venir ce qu'Hermione et Ron veulent plutôt que d'rester elle-même. La Rose d'avant, Albus il l'adore, celle avec qui il jouait constamment. Mais, à partir d'moment où ils sont montés dans le Poudlard express y'a six ans, elle est d'venu barbante. Il se rassoit quand sa cousine se glisse au fond de son lit. Il soupire, il se r'lève et ferme l'porte. Pis, l'question d'Rose résonne dans sa tête. Il n'savait pas trop comment l'prendre, et n'savait aps trop ce qu'elle répondrait à chacune des réponses possibles.


"Tu confierai bien ta vie à Angélique toi. C'mon meilleur ami Rose. Bien sur qu'je lui confierai ma vie, j'lui confierai la vie de Lily même, s'il l'fallait."

Et ce n'était pas peu dire. Lily, il la surprotégé, prenant son rôle de grand frère à cœur mine d'rien. Il hausse les épaules et rajoute une phrase en se rasseyant sur son lit.

"Comme j'la confierai à chaque membre d'cette famille aussi. Même, s'ils sont tous aussi tordus les un qu'les autres."

Pas si con l'Potter. Il savait qu'sa famille l'aimait, même son père, mais il leur en voulait. Rancunier, l'gamin, c'comme ça. Il leur en voulait de forger un moule ou chaque porteur du sang des Weasley devaient s'foutre. Albus, il est pas comme les autres, ni Louis, ils rentrent pas dans l'moule eux. Il s'contente d'être eux-mêmes, même si ça ne faciliter pas leur vie. Il attrape Henza et la fout sur ses genoux et r'prend.

"Ceci si t'es monté pour me convaincre de r'descendre, ça sert a rien. J'ai pas faim. Et oui j'vais bien. Comme t'jours."

Son ton est de r'devenu sec et défensif, sans l'vouloir, c'tait plus fort qu'lui. Mais, il savait qu'elle s'en irait pas pour autant. Il soupire et lève les yeux vers elle, gardant l'nez baissé vers Henza.

Lun 25 Fév - 13:50
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